Ahmed Ouyahia : « Je suis nommé quatre fois comme chef du Gouvernement, je connais très bien la mission d’appliquer le programme du président et les intérêts supérieurs de mon pays. On m’a accusé d’avoir établi par népotisme une liste de personnes pour le montage de véhicules, alors que j’ai juste veillé sur les intérêts de mon pays »
Ahmed Ouyahia « J’ai servi dans l’Etat durant 40 ans… et au final vous m’accusez de gaspiller de l’argent. Nous avons mis en œuvre une politique et un programme officiels approuvés par le Parlement et travaillé dans des institutions publiques. »
Ahmed Ouyahia : « A propos de dilapidations de deniers publics, je n’ai signé aucun contrat. On m’a accusé de corruption, qu’on me donne le nom de cet homme qui m’a corrompu, je sors de chez moi sous la garde, je rentre à mon bureau sous la garde, je me demande quand et qui m’a corrompu »
Ahmed Ouyahia : «J’ai oublié de déclarer les 30 milliards, Je n’ai pas fait de fausses déclarations, la preuve, c’est que j’ai fait des dépôts d’argent dans une banque publique. Mon épouse ne possède rien. Au sujet des entreprises de mes enfants, j’en ai informé le président par loyauté et du fait de notre relation quotidienne ».
Abdelmalek Sellal : « C’est une affaire politique. Le premier responsable c’est Bouteflika, et il faut qu’il soit présent en tant que témoin »
Abdelmalek Sellal : « A cette époque-là, il n’y avait ni justice, ni parlement ni gouvernement, tout le pouvoir était entre les mains de Bouteflika. Certes le président était malade, mais il suivait au moindre détail ce qui se passait à travers son frère »
Abdelmalek Sellal : « Je n’ai pas géré les projets, je n’étais qu’un coordinateur. Et ma mission a été de veiller sur l’application du programme »
