Plusieurs responsables de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), se sont vus, ces jours-ci, retirés leurs passeports par la brigade de recherche et d’investigation de la gendarmerie de Bab Jdid, dans le cadre de l’enquête sur les 30 000 tonnes de blé tendre avariées importées de Lituanie.
Cette affaire qui a éclaté fin novembre dernier provoquant le départ du directeur général de l’office, Abderrahmane Bouchahda, n’a pas encore livré tous ses secrets.
Pour rappel, à peine rentré d’Allemagne, le président de la république a ordonné un audit interne au sein de l’OAIC et l’ouverture d’une enquête sur ce scandale.