Il s’appelle Habib Bousmat, c’est un jeune Mostagaemois qui vient à peine de terminer ses études universitaires en droit, il souffre d’un syndrome néphrotique et risque d’avoir des complications de santé très grave en raison qu’aucun établissement Médicale au niveau national ne veut le soigner.
Habib, diminué, se bat chaque jour contre la douleur pour espérer une main tendue.
Lui le mostaganemois pauvre, et dépourvue de ressources financières, il peine à trouver une prise en charge hospitalière.
Les hôpitaux algériens refusent de le prendre en charge. Cloué dans son lit, abandonné à son triste sort, il ne lui reste qu’à lancer un cri de détresse pour interpeller les âmes charitable sur son état de santé qui ne cesse de se dégrader.
Pour l’heure, Habib Bousmat a réussie à avoir une facture préforma pour la prise en charge de son état de santé dans l’un des hôpitaux français et dont le montant est estimé à 3000 euros.
Ou on lui exige de payer à l’avance, sinon aucune prise en charge médicale ne lui sera délivrée et peu importe s’il risque de périr ou non. Abandonné par les autorités locales
qui ne bougent même pas le petit doigt ; il ne reste à Habib qu’une probable générosité populaire pour espérer une victoire contre une mort qui le guette depuis longtemps et se rapproche de lui de jour en jour.