Nous apprenons qu’en début de soirée d’hier samedi les urgences du centre hospitalier Mohamed Boudiaf de Bouira avaient reçus deux jeunes sportifs dans l’état était très critique, car blessés lors d’une démonstration en parapente qui leur a été fatale.
D’ailleurs, l’un a rendu l’âme juste après son admission et après avoir subi un examen de scanner parce que très affecté par ses chocs. Par contre le deuxième accidenté représentait plusieurs blessures qui ont nécessité son transfert au service de traumatologie de l’hôpital de Lakhdaria, ou il succombera à ses blessures son tour. Les deux sportifs dont l’un est originaire de Draria dans la wilaya d’Alger, et l’autre de Bouira, sont âgés respectivement de 25 et 35 ans, s’adonnaient à la pratique du vol libre en parapente.
Ils se sont établis au niveau du site sur les hauteurs du lieudit Tizi Oujaâvouv, considéré comme étant favorable au vol. Certainement que les conditions climatiques étaient peu favorable au lancement, ont mis à mal les victimes qui se sont heurtés à des obstacles lors de leur vol.
Pour rappel, nous avons en mémoire le décès du français Jean-Pierre Spies, suite à un accident survenu en Kabylie en avril de l’année 2007. Jean Pierre Spies était âgé de 72 ans, considéré comme un grand spécialiste du parapente, et qui était l’un des premiers à voler en parapente en France. Lors de sa mort accidentelle, toute la jeunesse algérienne s’est incliné devant ce bénévole qui a formé de nombreux jeune pilotes algériens en leur faisant découvrir également des sites favorable à la pratique de ce sport très captivant et dangereux à la fois. Il était venu en ce temps-là, sur invitation du Club amateur Tikjda vol libre (CATIVOL) de Bouira.
