Aujourd’hui au milieu de la journée, le corps sans vie d’un adolescent âgé de 14 ans vient d’être repêché d’un bassin d’eau qui se situe dans la commune de Sour El Ghozlane, à une quarantaine de kilomètres au sud de Bouira.
Les éléments de la protection civile sont intervenus une fois alertés sur la noyade de la victime. Selon des informations, avec la chaleur qui s’est annoncé caniculaire ce matin, l’adolescent était parti en compagnie de ses copains, pour se baigner au niveau de cette retenue d’eau. Et voilà que l’événement tragique de sa noyade s’est produit.
Le corps de la victime a été évacué vers la morgue du centre hospitalier des frères Yahiaoui de la ville de Sour El Ghozlane. Une enquête a été ouverte par les services compétents. Il est à faire connaitre qu’à l’approche de l’été, la wilaya de Bouira enregistre sa première victime morte par noyade. Il est très utile de faire connaitre que dans la commune de Sour El Ghozlane qui est située à une quarantaine de kilomètres au sud du chef-lieu de wilaya, Bouira, se trouvent des parents qui s’inquiètent du danger qu’encourent leurs enfants à majorité des adolescents, quand ils vont s’aventurer au niveau des retenues d’eau situées dans cette localité, notamment à la hauteur de l’Oued Djekam qui est implanté à 4 kms à la sortie de la ville de Sour El Ghozlane.
Essentiellement, cette région sud de la wilaya de Bouira est réputée pour ses grandes chaleurs pendant l’été. Cette situation contraint les jeunes enfants de Sour El Ghozlane à prendre d’assaut ces retenues d’eaux et autre Oueds pour se baigner. Certes, il y a une piscine dans la ville de Sour El Ghozlane qui a été rénovée après avoir été longuement délaissée pendant des années. Mais une seule piscine ne peut pas contenir les grands besoins des populations en matière de baignade.
Alors dans ce cas, des enfants s’en vont se baigner dans des bassins d’eaux cités, et parfois ils sont fangeux, constitués d’eau de pluie qui peut véhiculer des maladies transmissibles, et un grand risque de noyade qui peut menacer la vie de ces adolescents. Les parents d’enfants concernés souhaitent que les autorités publiques puissent interdire la baignade dans ces points d’eau à haut risque, par la prise de mesures dissuasives.
